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Avenue de la Gare 109
6720 Habay-la-Neuve
 
auberge-du-vivier@skynet.be
 
Tel: 063/ 42 03 00
auberge-du-vivier@skynet.be

Une maison de repos
qui favorise les solidarités
entre les générations

Il y a quelques siècles, dans un domaine situé à Habay au cœur de la Gaume, il y avait un lieu-dit « Vivier aux Moines ». En hommage à l’histoire et séduits par cette idée du vivier, les promoteurs d’une maison de repos pas tout à fait comme les autres, ont baptisé leur maison « L’Auberge du Vivier ».

 

Pas tout à fait comme les autres, parce qu’on y cultive le lien entre le passé et l’avenir. Entre les racines des aînés et le devenir des enfants, un projet à vivre.

 

L’Auberge du Vivier se situe le long de l’avenue de la gare à Habay-la-Neuve. Elle est intégrée au Centre Saint-Aubain agréé par l’ONE, un service d’aide aux familles accueillant temporairement depuis plus de 60 ans des enfants de moins de 7 ans.

 

 

 

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Des lieux pour susciter le lien social



Lorsqu’on déambule dans cette grande maison, on ressent dans la conception et l’aménagement des lieux cette volonté quasi irrépressible de profiter du moindre espace pour y permettre des « moments de vie ».

 

« Moi quand je suis dans le couloir », explique cette dame accueillie dans le cadre d’un séjour court et temporaire parce que blessée au bras, « c’est comme si je me promenais sur le Boulevard … Et quand je me mets sur mon seuil, je vois d’autres personnes à qui je peux parler… Mon mari lui aime bien aller à la rencontre des autres… Il joue aux cartes à la Grand-place. On est bien ici…  ».

L'auberge du vivier
Favoriser des relations privilégiées entre aînés et enfants

 

La présence des enfants fait partie du projet de vie proposé par l’Auberge du Vivier. Les effets de cette co-habitation inter âges sont autant de bénéfices pour les enfants que pour les personnes âgées. « Leur présence offre l’opportunité de recréer un lieu vivant où chacun peut apporter et recevoir ». Ce sont donc des relations privilégiées qui se nouent dans cet espace conçu pour favoriser la rencontre spontanée.

 

« Un jour, deux petites filles de 10 ans aperçoivent une dame âgée mal-voyante qui, se promenant dans le parc, semble éprouver des difficultés à retrouver l’entrée de la résidence. Spontanément les fillettes lui adressent la parole et lui proposent de la raccompagner. Il y a ce petit garçon qui court montrer ses nouvelles chaussures à deux dames âgées assises sur un banc. Et aussi cette dame de 95 ans sourde qui pousse trois petits enfants sur le carrousel de la plaine de jeux. La lenteur du geste leur convient parfaitement car lorsque les grands rentreront de l’école ils ne pourront plus profiter du manège. … »

 

 

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